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Un jour que Rê se promenait
Par un serpent il fut attaqué.
Le reptile entier l'avait avalé
Le monde était sans lumière désormais.
Lors on envoya chercher
La belle déesse aux yeux opales,
La jolie femme animale
La sublissime Bastet.
Dans le cou du sournois ses crocs planta
Et un peu de peau de Rê ébrécha.
Mais le reptile recracha le Dieu Soleil
Le monde retrouvait ses merveilles.
Bastet donnerait aux chats ses enfants
Des prunelles aux éclats de soleil
Et le besoin quasi incessant
Des rayons de l'Astre vermeil.
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Mon coeur saigne, blessé, à l'agonie,
Le ciel est bas, tout recouvert de gris.
Jamais plus le soleil ne brillera
Jamais plus ne serai dans tes bras.
Baissé le rideau de mes yeux fermés
Pause silencieuse pour oublier
Comme je souffre depuis ton départ,
Je n'aspire qu'à rester dans le noir.
Un train à destination inconnue
M'entraine loin de toi, de tes chimères.
Et je rêve d'une nouvelle vue
De nouveaux rivages, de nouvelles terres.
Exotisme, musiques et couleurs
Tableau de maître qui peint mon bonheur.
Ainsi renaît le ruisseau de l'espoir
Et je dis adieu à mes déboires.
En pensée je voyage en mille lieux
Me repose en des jardins merveilleux
Auto-guérison à ma déraison
Que l'amour volé m'avait dérobée.
Je pars en d'autres mondes imaginés
Retracer ma vie à coups de crayons,
De plume, d'encre, de beaux parchemins
Ailleurs, je redéfinis mon destin.
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LA lie de l'humanité ne vit pas dans les poubelles.
C'est étrangement qu'elle dort dans la dentelle.
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