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Si Baudelaire m'était conté...
Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle...
Qu'il nous menace, sombre, d'ensevelir nos têtes,
Mon coeur se serre et ma gorge est dans un étau
L'angoisse sévit. Dieu, qu'il fait nuit bien trop tôt!
Et si ces ténèbres devaient nous gouverner
Aujourd'hui, à jamais, et tous nous étouffer?
la lumière ne serait plus que douce rêverie,
Le souvenir d'un monde ou d'une douce utopie.
C'est par force et courage que l'on refoulerait
Ces démons nocturnes à nos âmes accrochés.
Le ciel, fief de l'Eternel oui, par trop d'outrages,
Nous abandonne à ses bannières tissées de rage.
M. BAUDELAIRE, le vrai poème parait-il
Serait des plus médiocres et pourtant voici bien
L'hommage d'un esprit pensant ne valoir rien
Et que vos vers lus un jour ont su rendre libre,
Libre d'essayer bravement d'écrire en vers
Avec tout le talent de Charles Baudelaire.
Jolana, le 28 Avril 2014
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Commentaires
Merci Symphonie... :-)
Je suis en train de rattraper une mauvaise manipe.. j'espère que cela n'a pas perturbé ta lecture :-)
Belle soirée
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Il sera content de le lire!
Coucou!