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    Thème du challenge chez Psyché: Enfants sans parents.

     

    Ma participation:

     

     

    Je suis né, peut-être, d'un amour réciproque,

    Fruit plus probable d'une relation en toc.

    Triste héritier de liens sans partage

    Je tente depuis de vivre sans dommage.

     

    On ne parle pas de crime quand un père laisse son enfant.

    Il n'y aurait pas de victime quand un fils vit sans parents?

    Instants tendresse, débit d'amour, débit de joie,

    A néant, dispersés au vent, dilués sur les toits.

     

    Mais je t'observe, te garde jalousement

    Toi mon coeur, miracle inouï, mon enfant.

    Je te promets d'être pour toi à jamais le père

    Que je n'ai jamais eu, que parfois encore j'espère.

     

    Jolana

     


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  • A l'ombre de mon aimé

    J'aurais voulu me réchauffer

    Mais il y fait si froid si froid

    A l'ombre de celui qui ne vient pas.

     

    Mon coeur en est pourtant empli

    De l'image de l'ombre qu'il poursuit

    Sentiments vains, je le sais

    Pourtant mes sentiments sont vrais.

     

    Avec le temps peut-être

    Le coeur deviendra honnête

    Peut-être le rêve deviendra douceur

    Toucher réel sous mes lèvres en fleur.

     

     

    JOLANA


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  • 10 mots sur thème libre:

     

    Ma participation: 

     

    Cet enfant qui joue près de la rivière,

    Goûte son eau fraîche, s'y désaltère.

    Du ciel clément irradie la lumière.

    C'est une belle journée, banale et éphémère.

     

    Dans la prairie il s'allonge sur un nid doux de fleurs,

    Bercé par le chant des oiseaux ravis de l'auditoire.

    Il se laisse aller à la nature et sa douceur.

    La merveilleuse harmonie dure jusqu'au soir.`

     

    Un bruit étrange vient troubler cette paix.

    L'enfant se lève, regarde tout alentour

    Un son l'attire vers le cours d'eau: il s'approche plus près

    Et voit un banc de saumons dansant et sautant tout à tour.

     

    Quel spectacle superbe pour les yeux et les oreilles!

    L'enfant est ébloui; instant privilégié et heureux.

    Il se hisse dans sa barque, il baille aux corneilles,

    Le courant le porte. C'est l'heure des au-revoirs chaleureux.

     


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