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    Et l'on croit toujours l'éphémère éternel,

    Pauvres âmes folles inconscientes du temps,

    Ou peut-être le sommes nous trop et repoussons

    Au plus loin possible l'inéluctable...

     

    Sans choisir, voilà accablées nos épaules frêles

    Du destin capricieux, qu'on souhaite contrôler tant.

    Mais le voile séparant la vie et la mort n'est qu'un pont,

    Que l'on voudrait infranchissable...

     

    Et pourtant sonne l'heure où le compte à rebours

    Sonne le glas où les âmes ont des comptes à rendre.

    Le poids de ton coeur léger et de ton âme belle,

    Te font t'envoler vers l'Ether infini...

     

     

    Jolana

     

     


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