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Ma peine superficielle
Me ronge les sangs,
Me ronge les veines.
Mon coeur s'émerveille tel un enfant,
Il vibre tant à chaque battement
Qu'il résonne au-delà de toute raison.
Cette peine futile , nul ne la comprend
Et me laisse seule, isolée,
Comme une folle irraisonnée,
Comme une enfant perdue, sans maison.
Je me suis arrêtée mais le temps file.
Reste ma peine futile, inutile.
Je ferme les yeux et m'évade
Dans mon esprit léger, merveilleux,
Où toutes les souffrances s'effacent:
Tout est de nouveau possible en ce lieu...
Jolana, le 30/09/13
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